La première question qui vient à l’esprit après la lecture d’un tel article, c’est comment dans le contexte actuel, rester silencieux, alors que tout autour de nous est bruit et paroles, j’ai souvent l’impression que la philosophie yogique préconise un état inaccessible, utopique, où il aurait fallu fuir et vivre en ermite pour connaitre ne serait-ce qu’un dixième des bienfaits procurés.
Ma question ici, c’est : comment par exemple peut-on concilier le silence à l’intérieur d’une société qui nous demande de briser le silence pour continuer d’exister au sein d’elle.
Plus clairement : l’illustre exemple du "muni" est-il concevable en admettant qu’il soit ancré dans la société contemporaine, où s’exclure est très difficilement réalisable à moins de vivre dans une extrême pauvreté ?
Pour faire simple et en guise de conclusion : selon l’acception du muni que l’article propose, nous est-il possible d’être sages aujourd’hui ?
La première question qui vient à l’esprit après la lecture d’un tel article, c’est comment dans le contexte actuel, rester silencieux, alors que tout autour de nous est bruit et paroles, j’ai souvent l’impression que la philosophie yogique préconise un état inaccessible, utopique, où il aurait fallu fuir et vivre en ermite pour connaitre ne serait-ce qu’un dixième des bienfaits procurés.
Ma question ici, c’est : comment par exemple peut-on concilier le silence à l’intérieur d’une société qui nous demande de briser le silence pour continuer d’exister au sein d’elle.
Plus clairement : l’illustre exemple du "muni" est-il concevable en admettant qu’il soit ancré dans la société contemporaine, où s’exclure est très difficilement réalisable à moins de vivre dans une extrême pauvreté ?
Pour faire simple et en guise de conclusion : selon l’acception du muni que l’article propose, nous est-il possible d’être sages aujourd’hui ?